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Jardin prairie : l'heure de la fauche

Avec la sécheresse de cet été, un retour après quinze jours d'absence est toujours accompagné d'une certaine appréhension.

 Les plantations ont souffert ( mon inquiétude concerne surtout les jeunes arbustes) mais les zones prairiales s'en sortent toujours mieux. 
Et avant de me replonger dans les archives archéo., il est temps d'envisager la fauche. Elle ne concernera pas tous les locus car je compte en garder des "naturels"...
Les viornes, cornouillers et amelanchiers sont mal en point. Je pense avoir perdu un bouleau et définitivement un noisetier ce qui est assez étonnant.
 Les trois biotipis se dressent toujours avec un peu moins de fleurs. D'ailleurs celui où j'avais planté en majorité des capucines est juste recouvert de leurs feuilles mais toujours pas de floraison à l'horizon. Je pense changer l'an prochain. Les ipomées sont plus à l'aise dans cet environnement. 
Bon maintenant faut se retrousser les manches et faucher!

2 commentaires:

  1. Quel magnifique Jardin.J'imagine le temps qu'il faut pour son entretien. il faut la passion c'est certain !
    Félicitations c'est superbe

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  2. Merci beaucoup. Oui j'y passe du temps. La dualité du "laisser-faire" et de "l'orientation". Je m'interroge en permanence d'intervenir ou pas. Comme tourner, retourner une page, écrire ou non... La ritournelle de l'action face à la reflexion...

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