Il est des Terres où nos pas, tels des songes apesantis ⁽¹⁾, se meuvent puis s'égarent, ne laissant nulle empreinte dans leur sillage... Eussions nous le désir farouche d'y ancrer nos pieds ou nos mains que l'inconsistance de nos êtres, en cet instant, se révèlerait céans, un souvenir immatériel pour seule pitance...