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Prendre de l'altitude et voir les herbaglyphes

Aller au jardin vers l'Omega pour y dessiner une perle de Marguerites. Certes encore fugace et naissante dont on ne devine pour l'instant que la silhouette. Mais en y regardant de plus près, les nuances de vert laisse entrevoir la fleur des près...

L'apparition du mot grec margaritês vers le IVe s. A.C a pour sens la perle (huitrière) et aimant donné un nom à mes "herbaglyphes" ( nom qui semble inconnu dont je donne cette signification : représentation graphique dans les herbacées ), je vais laisser cette portion de la "pelouse" aux ébats des marguerites et y dessiner une forme oblongue: la Perle des Marguerites. 
Herbaglyphe, tatouage graminéen, circonvolution florale, biotipi volubile... Ne serais je point gagner, tel les personnages de "Last Of Us", par une plante fongique qui jouerait les troubles fêtes dans mon esprit? A contrario de cette référence, je gage d'une symbiose bienfaisante.
Mais trèfle de plaisanterie...
Les arabesques en quinze jours se développent et je dois m'élever pour en apprécier les contours.
J'ai du monter sur le toit pour les deux dernières photos.
J'imagine que la prochaine étape sera l'acquisition d'un drône car je ne puis aller plus haut ( bien que mes inspirations parfois frôlent les hautes sphères ...